Christian Vernoux
Psychanalyste - Thérapie jungienne
 
14 rue Paul Eluard, 93200 Saint-Denis, France
 
Disponible aujourd'hui de 10h à 20h
 
06 64 16 97 60

A propos de Christian

Après avoir fait une école de commerce tout en jouant au rugby de haut niveau à Saint-Jean-de-Luz, Christian a distribué du bronze industriel basque espagnol en Europe, managé des équipes opérationnelles dans la distribution spécialisée, ainsi que dans la grande distribution, et formé des dirigeants au management, au leadership et aux nouveaux modes de gouvernance. 

Après le décès de son fils aîné, Il s'engage dans une première psychanalyse réussie avec le Dr René Gandolfi, à Paris, ayant pour base une approche anthropologique d'orientation existentielle et spirituelle. 

Christian se forme alors à la Voie du Tao et aux thérapies manuelles chinoises au sein de la Fédération Française de Shiatsu traditionnel (FFST). Il pratique le Zen Shiatsu de Shizuto Masunaga dans les hôtels de luxe parisiens et au domicile de ses clients. 

En parallèle, Il étudie le processus d'individuation jungien avec le Dr René Gandolfi et suit les enseignements de Thich Nhat Hanh et de Luis Ansa. 

Aujourd'hui, l'être humain a besoin de sens et d'une vie symbolique ou spirituelle pour s'épanouir profondément.

Christian propose un extraordinaire voyage intérieur, où chacun d'entre nous apprend à faire dialoguer son conscient et son inconscient pour devenir pleinement soi et accéder à un sentiment d'unité et de joie profonde. 

Il n'appartient à aucune école de psychothérapie ou    de psychanalyse, ni à aucune religion ou mouvement religieux. Il adhère au code déontologique de la FFST.

Christian croit profondément en l'être humain et en la nature sacrée de tous les êtres vivants. Il prend en considération tout ce qui fait la richesse de l'être humain. Son approche est holistique. 

Un voyage vers soi

Pour qui ? Pour quoi ?

Les patients me consultent généralement en raison de leurs difficultés à nouer et à entretenir des relations interpersonnelles gratifiantes. Bien entendu, je peux aussi vous aider à faire un deuil, à sortir d'un état dépressif ou d'un burn-out, à dépasser une angoisse, une peur, ou à guérir une phobie, par exemple. De plus en plus de victimes de viols et de maltraitances en tout genre viennent me demander mon aide. 

Nombre d'entre nous croient qu'il faut souffrir pour grandir ; c'est une croyance masochiste ! Pourquoi ne pas opter le plus souvent possible pour ce qui va nous rendre heureux et développer tout ce qui conduit à une vie plus riche, plus douce et plus épanouissante ? 

Pourquoi ne pouvons-nous pas rire, vibrer, jouer et vivre notre vie avec spontanéité ? Pourquoi ne sommes-nous pas capables d'affirmer chaque jour "J'aime qui je suis, j'aime avec qui je suis, j'aime ce que je fais et j'aime où je vis..." et faire totalement notre cette maxime ? 

La réponse est simple. Parce que de nombreux aspects dans nos vies ne sont pas épanouissants. Nos histoires familiales, nos relations amoureuses, notre milieu social, entre autres (la liste est longue), sont souvent des entraves à notre bonheur.

Que faire alors ? Eh bien, changer, transformer tout ce qui nous empêche de nous aimer et d'aimer notre vie. Le bonheur est toujours lié à notre capacité à accepter et à vivre positivement le changement. Pour être heureux, il faut aussi admettre que la vie est difficile. 

 

Dans quel but ?

L'estime de soi, qui ne peut exister sans amour de soi, est indispensable pour la réussite de toute relation (quelle soit amoureuse, amicale, familiale ou professionnelle), et, ou, pour la guérison de tous nos maux. 

Mais qu'est-ce que l'estime de soi ? Tout simplement l'aptitude que l'on a de se respecter soi-même, de se sentir digne d'amour et plus encore de s'accorder suffisamment de valeur pour se faire confiance dans la poursuite d'objectifs qui nous sont chers.

L'amour de soi est un profond respect et une bienveillance sans complaisance. Le respect ici implique le respect de notre individualité, de ce que nous sommes en profondeur.

Tout amour mystifié conduit forcément à un manque de respect puisque l'on ressent que, pour être aimé, il ne faut pas être soi-même. Le respect est un élément fondamental de l'estime de soi. 

L'amour est forcément "bien veillant" : il veille au bien, au bien-être et à l'épanouissement de l'individu. S'aimer revient à se vouloir du bien et s'autoriser à se donner ce qui nous a tant manqué. 

La non-complaisance est la qualité de base de tout épanouissement ; c'est apprendre à refuser de fonctionner avec un faux moi qui n'existe que par et pour le regard de l'autre. La non-complaisance est un moteur de notre volonté, de notre choix d'aimer mieux et plus justement. 

Certains d'entre nous croient que s'aimer est égoïste, égocentrique. 

Quand le petit enfant cherche l'amour de sa mère et, ou, de son père, il se conforme à ce qu'ils désirent pour être aimé. Cela le mène à imaginer qu'il faut faire et être ce que l'autre désire pour être aimé et qu'il faut donner pour être récompensé. Le fait de recevoir devient secondaire, car l'enfant va peu à peu se suffire du plaisir de sa mère et, ou, de son père, et s'oublier. 

Beaucoup d'adultes souffrent de leur incapacité à recevoir de l'amour. Ils savent donner (ils donnent souvent trop et mal), mais ils ne savent plus recevoir. Quand on enregistre la croyance que recevoir de l'amour n'est finalement pas du tout important, on désapprend à s'en donner. 

De plus, si le modèle de référence père/mère n'a même plus besoin de nous donner pour que nous nous imaginions heureux, de qui d'autre pourrons-nous attendre de l'amour ? C'est aussi simple que cela. 

Certaines personnes s'autorisent apparemment à recevoir de l'amour, mais leurs croyances font qu'elles n'utilisent pas cet amour pour leur bien-être. Aussi étonnant que cela puisse paraître, on peut recevoir beaucoup d'amour sans l'accepter profondément et continuer à ne pas s'aimer soi-même. 

S'aimer soi-même, c'est accepter le fonctionnement de l'amour : donner et recevoir. Tant que nous donnons ou recevons de l'amour pour répondre à nos blessures d'enfant, nous ignorons encore ce qu'est le véritable amour et nous donnons et recevons mal. 

Chaque pensée, chaque parole, chaque acte qui ne tend pas à dévoiler ce que nous sommes profondément nous éloigne de l'estime de soi. Cet amour de soi est une force présente en chacun de nous que nous pouvons tous expérimenter. La plénitude que nous recherchons est présente en nous, ici et maintenant. Il suffit de s'en souvenir. 

Notre premier bénéfice est l'ouverture à une puissance sur nous-mêmes qui nous conduit à être notre propre guide, le créateur de notre vie. Nous savons mieux profiter de la vie. Nous vivons uniquement le présent, et tout devient source d'émerveillement. Nous dirigeons alors notre vie avec plus de conscience, plus de liberté et plus de joie de vivre. Nous sommes notre propre guide et maître, puisque nous sommes profondément la meilleure personne pour nous-mêmes. 

Le second bénéfice est l'ouverture à notre bonheur. Le bonheur a autant de visages qu'il y a d'êtres humains sur terre. Il n'existe pas une seule forme de bonheur. C'est à chacun de puiser dans son âme le pouvoir d'utiliser son Graal, cette coupe sacrée qui le mettra en lien avec la vie, avec son essence, avec son bonheur. 

 

De quelle manière ?

Si vous venez me voir, nous commencerons par échanger : échanger sur ce qui vous amène ici et ce que vous attendez de cet accompagnement. J'analyse la thérapie précédente. 

Vous pourrez me raconter votre histoire ou des parties, vous pourrez me poser toutes les questions que vous voulez sur ma façon de travailler ou sur ce qui vous préoccupe.

Considérez la tâche du thérapeute expérimenté. Il doit instituer une relation avec le patient, fondée sur l'authenticité, une attention positive inconditionnelle et la spontanéité. 

Il incite le patient à commencer la séance par son "point d'urgence" et à explorer, en creusant de plus en plus profondément, les sujets importants qui surgissent au fur et à mesure. 

Quels sujets ? Peut-être un événements récent qui a dérangé le patient, un sentiment éprouvé pour le thérapeute, un point qui a émergé à la suite de la séance antérieure, ou d'un rêve qu'a fait le patient la nuit précédente. 

Selon moi, la thérapie est libre de contraintes, la relation, dynamique et en constante évolution, et tout doit se dérouler selon une séquence continue où l'expérience vécue est suivie de l'examen du processus. 

Dans son autobiographie, Jung met en avant le caractère unique du monde intérieur de chaque patient et de son langage, unicité qui demande au thérapeute d'inventer une nouvelle approche pour chacun d'eux. 

Les thérapeutes doivent faire comprendre aux patients que leur tâche essentielle est d'établir conjointement une relation qui elle-même deviendra agent de changement. 

Avant tout, un thérapeute doit être préparé à suivre le patient où qu'il aille, à faire tout ce qui est nécessaire pour continuer d'entretenir confiance et sécurité dans la relation. 

J'essaye d'adapter la thérapie aux besoins de chaque patient, de découvrir le meilleur moyen de travailler, et je ne considère pas le processus d'adaptation comme une préparation ou un prélude mais comme l'essence même du travail. 

Je suis un thérapeute qui élimine les obstacles à la croissance personnelle de mes patients. J'évite le diagnostic. Je me considère comme le "compagnon de route" de mes patients. Pendant une thérapie, je sollicite le patient et je prodigue mon soutien.

Je regarde par la fenêtre du patient et je lui enseigne l'empathie. Je reconnais mes erreurs. J'utilise sans relâche le "ici et maintenant" qui consiste à essayer de trouver des équivalences de dysfonctionnements relationnels dans le "ici" du cabinet et de l'entre-deux (l'espace entre vous et moi), et "maintenant", au cours de la séance. J'utilise mes sentiments personnels comme éléments d'information. 

Tout est grain à moudre et je fais feu de tout bois. Je suis transparent concernant les mécanismes de la thérapie. Il peu m'arriver de me dévoiler personnellement (je partage ma part d'ombre) soit pour dédramatiser une épreuve, soit pour rassurer mon patient, soit pour l'encourager à se dépasser. 

J'amène le patient plus loin que là où je suis moi-même arrivé. Régulièrement, je fais des retours d'information efficaces et bienveillants. J'aide les patients à assumer la responsabilité. Je ne décide jamais à la place du patient. Je me concentre sur le refus de prendre une décision. 

Je facilite la prise de conscience de soi. Je parle de la mort qui enrichit la vie, du sens de la vie, de la liberté, du bonheur, de l'isolement et de la solitude. Je mène une thérapie comme une séance continue. J'encourage le monitorage de soi. 

J'exprime ouvertement mes dilemmes. Je prends des notes de chaque séance. Il m'arrive de faire des visites à domicile, ou d'interroger l'entourage et le partenaire intime. J'utilise des accélérateurs de thérapie. Je suis confrontant, direct et provocateur. 

J'utilise les rêves. Je les utilise sans cesse. Je les utilise de manière pragmatique. Je navigue dans les rêves. Je découvre la vie du patient dans ses rêves. J'utilise la plainte originale comme levier. J'envisage la thérapie comme une répétition générale à la vie. 

Vous verrez mon espace de travail qui est un lieu accueillant, facilitant le dévoilement de soi et permettant de se centrer sur soi en étant accompagné.

Je m’ajusterai à vos demandes. Le tarif de chaque séance est équitable : il tient compte de vos revenus et de vos charges. C’est à la suite de cet entretien que vous déciderez si vous souhaitez vous engager dans ce type de thérapie avec moi.

Vous commencerez quand vous le souhaitez. Et bien sûr vous arrêterez quand vous le souhaitez aussi. Je vous demande que nous ayons au minimum une séance pour penser et vivre la fin de ce travail ensemble.

Cet espace sera absolument confidentiel, condition pour que le travail sur soi, de l’ordre de l’intime puisse s’effectuer.

 

Un cadre à replacer

L'appui du cadre est de première nécessité, et par lui nous commencerons. Encore savons-nous que l'inobservance, voire même l'attaque, du cadre et des interdits non seulement menace mon activité d'observateur et de thérapeute, mais constitue d'abord un signe majeur d'incestualité déferlante. Là est l'alerte. 

Et là sera ma parade. Que ce soit dans les séances individuelles ou dans les séances du groupe de parole, j'imposerai un cadre. Ce sera "mon" cadre. Il ne sera pas le fait du hasard, ni de mon humeur. Mais taillé d'après l'expérience acquise. Je l'expliciterai. Je l'expliquerai. J'édicterai les règles. Formulerai les interdictions correspondantes. 

Quelles règles au juste ? Elles concernent le temps des séances, l'horaire des rencontres, leur lieu, leur paiement, les retards, les condition d'annulation d'une séance, les vacances, le début et la fin de la thérapie. La règle essentielle est de parole et de non-action. Tel est le cadre. 

Une fois la règle dite, les infractions et les effractions seront repérées, signalées et analysées. Démarche essentielle que celle-là : avec elle, la moitié du travail thérapeutique sera faite : il peut arriver qu'elle suffise ; mais rien, sans elle ne saurait s'ensuivre. 

Remarquable conjonction que celle-ci : en défendant l'intégrité de mon aire thérapeutique, c'est du même coup l'intégrité de l'aire psychique de mes patients et de leurs familles que je défends, et que, par chance, peut-être, je vais restaurer.

 

Le groupe de parole

La grande majorité des individus qui sont demandeurs d'une thérapie sur l'estime de soi ont des problèmes relationnels fondamentaux ; dans la plupart des cas les individus sombrent dans le désespoir parce qu'ils se sentent incapables de nouer et de maintenir des relations interpersonnelles enrichissantes et durables.

Sur la base du modèle thérapeutique interpersonnel, j'ai créé un groupe de parole mixte (le GR14) qui vient en complément des thérapies individuelles. Nous nous réunissons chaque semaine le lundi ou le mercredi, de 20h30 à 22h30, dans mon cabinet, à Saint-Denis.

Nous envisageons le groupe de parole comme un microcosme social. Ce qui signifie, qu'au bout du compte (à condition d'éviter une structuration trop lourde) les problèmes interpersonnels des participant(e)s se manifesteront d'eux-mêmes dans le ici et maintenant du groupe de parole.

Si dans leur vie courante, les participant(e)s au groupe de parole se montrent exigeant(e)s, craintif(ve)s, arrogant(e)s, séducteur(trice)s, effacé(e)s, directif(ve)s, catégoriques, ou, d'une façon ou d'une autre, mal adapté(e)s sur le plan interpersonnel, ces traits apparaîtront alors dans leurs relations au sein du groupe de parole.

Quand un(e) participant(e) aborde le sujet d'une interaction malheureuse avec une autre personne du groupe de parole, la stratégie consiste à trouver un équivalent dans le ici et maintenant de l'interaction dysfonctionnelle au sein du groupe de parole, ou dans la vie courante de la personne en questionnement.

Nous commençons toujours par les points d'urgence de chaque participant(e). Il n'y a pas d'obligation de parole. C'est un espace qui se veut sécurisant et protecteur dans lequel la parole peut être posée librement. Le groupe apporte son soutien de manière dynamique.

 

Conclusion

C'est une démarche qui demande de la conscience, du temps et un travail conséquent sur soi, mais la force que l'on en retire est tellement gratifiante ! 

On comprend aisément que la liberté nécessite une profonde réflexion pour se connaître et répondre à ses propres désirs, et non à ceux des autres. Etre libre, c'est se libérer des entraves et oser exprimer ce que nous sommes vraiment. Pour mener au bonheur, cette liberté se doit d'être constructive et respectueuse de la vie. 

Finalement, nous pouvons tenter cette définition du bonheur : être en accord avec soi et avec la vie quelles que soient les circonstances. 

Notre liberté et notre bonheur sont véritablement contagieux pour notre entourage. 

Au-delà de notre propre personne, ce devoir de liberté est une forme active de transformation de notre société et de notre monde : nous pouvons contribuer, à notre niveau, à l'élaboration d'un monde meilleur. 

 

Les médiateurs

  • La sensation
  • La relaxation
  • Les émotions
  • L'écoute analytique
  • La vision symbolique
  • L'analyse des projections
  • L'interprétation des rêves
  • L'interprétation du sens des symptômes 
  • L'interprétation des synchronicités
  • Le ici et maintenant
  • Les plans de conscience
  • Le groupe de parole

 

Code déontologique

J'adhère sans réserve au code déontologique conforme à l'esprit du shiatsu, de même qu'à la lettre des Statuts et du Règlement intérieur de la Fédération Française de Shiatsu Traditionnel (FFST), ainsi bien sûr qu'avec les lois et règlements en vigueur, tant européens que français. 

En conséquence, je m'engage sur l'honneur :

  • à exercer mon art dans le respect total de l'intégrité physique et morale de la personne traitée ;
  • à respecter une stricte confidentialité ;
  • à fixer des honoraires en accord avec l'équité en les proportionnant aux prestations fournies ;
  • à toujours garantir une prestation optimum, notamment en maintenant mes compétences au plus haut niveau à l'aide de cours, stages et formations complémentaires ; 
  • à mener mes activités de thérapeute en excluant toutes formes de prosélytisme religieux, politique ou sectaire. 

Par ailleurs, je garde à l'esprit que ma thérapie n'est pas une pratique médicale au sens occidental du terme. Par conséquent je dois : 

  • m'abstenir d'établir un quelconque diagnostic médical ;
  • ne pas interrompre ou modifier un traitement en cours ; 
  • ne pas prescrire ou conseiller des médicaments allopathiques ;
  • diriger sans délai vers un médecin toute personne se plaignant ou présentant des symptômes anormaux ;
  • avoir une conception pluridisciplinaire de ma pratique, ouverte vers les disciplines médicales ou para-médicales ; 
  • ne pas oublier que ma thérapie n'est ni une idéologie, ni une médecine, mais un art s'inscrivant prioritairement dans le domaine de la prévention. 

Les fondamentaux

Se connaître

La majorité des gens ne se connaissent pas et font des choix qui ne leur correspondent pas. Plus nous sommes éloignés de notre essence (c'est-à-dire de ce que nous sommes profondément), plus nous déclinons et perdons goût à la vie. Il est préférable pour avancer dans la vie, de connaître son jeu de cartes, c'est-à-dire ses qualités, ses faiblesses, ses besoins, ses envies, ce qui est juste et épanouissants pour soi. 

S'accepter

Beaucoup de gens comprennent intellectuellement la nécessité de se connaître, mais ils ont du mal à s'accepter. La honte toxique est la principal ennemi d'une bonne estime de soi. Elle fait naître des croyances ou des pensées écrasantes du genre : "Je suis un raté" ; "Je ne vaux rien" ; "Je suis méchant" ; "Je suis incompétent"... S'accepter revient à voir la réalité de façon globale, et à ne plus osciller entre orgueil et dévalorisation. 

Etre honnête avec soi

Etre honnête avec soi est souvent difficile, car nous craignons de nous confronter à notre ombre et de souffrir. Cette peur de la souffrance est cependant bien pire que la souffrance elle-même ; elle nous paralyse et nous empêche de découvrir nos trésors intérieurs. L'automanipulation est l'outil le plus courant pour se mentir à soi-même. C'est une forme de résistance aux changements. 

Agir en conscience

L'action est une confrontation avec la vie : elle est indispensable pour changer et évoluer. Ne pas agir revient à ne pas être en vie, à fuir sa responsabilité de créateur de sa vie, à ne pas s'affirmer et à ne pas être à l'écoute de soi et des autres. Chaque action devrait être le fruit d'un choix le plus conscient possible pour oeuvrer pour son bien et celui de tous les êtres. Lorsque nous éprouvons des difficultés à poser un acte, cela peut être le signe que cette action est indispensable à notre bien-être. Nos peurs entrent alors en jeu pour nous faire croire le contraire, nous démoraliser et nous démobiliser. 

Cesser de se juger

Nous nous conduisons souvent en bourreau avec nous-mêmes. Nous nous jugeons sans cesse. Imaginez que vous vous infligez un coup de massue à chaque pas que vous faites dans une rue : pensez-vous que vous réussirez à avancer ? Certainement pas. C'est ainsi que nous nous comportons lorsque nous laissons la parole à notre juge intérieur. A chaque fois que vous vous surprenez à vous critiquer de façon abusive et sans fondement, dites à haute voix : "Annulé !" Vous stipulerez ainsi à votre juge intérieur qu'il n'a plus la parole. Répétez cela autant de fois que nécessaire. 

Accepter l'idée de l'échec

Nous répétons tous dans nos vies des situations analogues à celles vécues dans l'enfance. C'est comme si nous nous confrontions régulièrement à ces difficultés pour mieux les comprendre et les surmonter. La perfection n'existe pas. L'échec est naturel et souvent bénéfique : il nous permet de nous remettre en cause. Pensez à une action où vous avez échoué. Vous êtes-vous donné réellement les moyens de réussir ? Cette action était-elle bénéfique ? N'oubliez jamais que certains échecs sont souvent perçus, après coup, comme de formidables opportunités pour orienter notre vie vers une meilleure voie. 

Les Plans de conscience

Premier plan

  • La famille et ses valeurs
  • Les croyances familiales
  • Les relations familiales
  • Le sentiment de sécurité
  • L'aptitude à se défendre
  • L'ordre et la cohésion

Second plan

  • Les sentiments de blâme
  • Les sentiments de culpabilité
  • L'argent et le sexe
  • Le pouvoir et le contrôle
  • La créativité
  • L'éthique et l'honneur

Troisième plan

  • La confiance
  • La peur et l'intimidation
  • Le respect de soi
  • La capacité au bien-être
  • La capacité à être responsable
  • L'honneur personnel

Quatrième plan

  • L'amour et la haine
  • Le ressentiment et l'amertume
  • Le chagrin et la colère
  • L'égocentrisme
  • La solitude et l'engagement
  • Le pardon et la compassion

Cinquième plan

  • Le choix et la force de volonté
  • L'expression personnelle
  • La capacité de se réaliser
  • La canalisation de son pouvoir 
  • L'assuétude et le jugement
  • La foi et la connaissance

Sixième plan

  • L'auto-évaluation
  • La vérité
  • Se sentir à la hauteur
  • Etre ouvert aux idées des autres
  • Savoir tirer des leçons
  • L'intelligence affective

Informations pratiques

Cadre thérapeutique

  • En cabinet et, ou, par téléphone 
  • Séance individuelle d'une heure
  • Entre 30 et 80 euros, en fonction de vos revenus
  • Groupe de parole mixte (deux heures) : 20 euros
  • Vous commencez la thérapie quand vous voulez
  • Vous mettez fin à la thérapie quand vous voulez
  • Prévoyez une dernière séance pour faire un bilan ensemble
  • Les séances annulées moins de 48 heures avant sont dues
  • Cette thérapie n'est pas prise en charge par la Sécurité Sociale

Horaires

Du lundi au vendredi
10h-20h

Coordonnées

Christian Vernoux

14 rue Paul Eluard
93200 Saint-Denis
France

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