Christian Vernoux
Psychanalyste jungien - Spécialiste de l'estime de soi
 
14 rue Paul Eluard, 93200 Saint-Denis, France
 
Indisponible aujourd'hui
 
06 64 16 97 60

A propos de Christian

Je suis né le 4 juin 1965 à Madrid, à dix mois, avec une malformation des pieds très handicapante, d'un père charentais, courtier international, et d'une mère haute savoyarde, commerçante. 

Mes parents désiraient une fille à ma place qui se serait appelée Béatrice. Est-ce pour cela qu'ils m'ont rejeté, abandonné, traité injustement et humilié ? J'ai reçu une éducation à l'anglaise : très stricte. Mon père me battait violemment et me corrigeait au ceinturon. 

A mes quatre ans, naissance de mon frère avec le cordon ombilical autour du cou, qui lui non plus ne sera pas épargné par notre mère. Après avoir été un des meilleurs joueurs de golf de sa génération tout en réussissant le concours du barreau, il est devenu danseur-thérapeute et pratique la tango-thérapie. 

A l'âge de douze ans, le Pr Valderrama m'a coupé cinq centimètres de tibia et de péroné sur chaque jambe pour me (re)construire des voûtes plantaires. On peut dire que ça m'a permis d'apprendre à marcher et à courir normalement. Six ans plus tard, j'ai joué mon premier match de rugby en National B avec le Saint-Jean-de-Luz Olympique. 

A partir du moment où j'ai eu les moyens physiques de croître, de gagner en autonomie et de m'émanciper de ma mère, elle a commencé à nourrir une emprise narcissique sur moi, à me dominer, à me travestir et à me violer sexuellement régulièrement jusqu'à ma majorité. 

J'ai commencé à me prostituer avec des femmes et avec des hommes pendant mes études supérieures à Bordeaux, et ce jusqu'en 2018. Mon premier psy dira que c'est la sexualité qui m'a sauvé. Il dira aussi que j'ai une âme errante, entre la névrose et la psychose, à la limite de la psychose.  

Tout en me prostituant, j'ai distribué du bronze industriel basque espagnol en Europe, managé des équipe opérationnelles dans la distribution spécialisée ainsi que dans la grande distribution, formé des dirigeants au management et au leadership, et conseillé des patrons sur les nouveaux modes de gouvernance ainsi que sur la conduite du changement. 

J'ai vécu en couple avec cinq femmes et j'ai eu trois enfants. Thibault aurait eu trente ans cette année, Jeanne, vingt-huit ans, et Maxime, vingt-deux ans. 

Après le décès de mon fils aîné, bien qu'étant déjà dissocié et dépressif, depuis le premier passage à l'acte sexuel de ma mère et, peut-être même avant, depuis le premier passage à l'acte violent de mon père, j'ai décompensé et je me suis enfoncé dans une profonde psychose.

Mon frère m'a d'abord mis en relation avec son astrologue karmique, Murielle Cariou, qui a accepter de m'aider à intégrer mon karma et qui a su répondre à ma première aspiration à la transformation de soi. En effet, l'être profond est perpétuellement en métamorphose et ce sont les planètes lentes qui, dans le thème de chaque individu, sont porteuses du dynamisme des actes passés et donc de l'énergie créatrice de nouvelles structures psychologiques. 

Ensuite mon frère m'a mis en relation avec son psychothérapeute, le Dr René Gandolfi, qui a accepté de m'aider (sous certaines conditions puisqu'il aidait mon frère en même temps) et qui m'a aidé à intégrer les différentes étapes du développement psychosexuel freudien, à dépasser mon complexe d'œdipe, à passer de la persona au moi, puis du moi au Soi, à apprivoiser mon ombre, à intégrer mon anima et mon animus, et à harmoniser les contraires en moi. 

Chez un bouquiniste, j'ai été attiré par le livre de Barbara Ann Brennan, Le Pouvoir bénéfique des mains, comment se soigner par les champs énergétiques. Ce fut une véritable révélation pour moi. Peu après, je suis tombé sur les Fragments d'un enseignement inconnu de Ouspensky. J'ai enchaîné avec les Lettres sur la méditation occulte et L'état de disciple dans le nouvel âge d'Alice A. Bailey, et avec le Cours en miracles d'Helen Schucman et William Thetford. 

Ensuite, j'ai rencontré l'enseignement de Shizuto Masunaga par l'intermédiaire de Michel Aleki au sein de la Fédération Française de Shiatsu Traditionnel. 

Sur la base du Zen Shiatsu, j'ai continué à me prostituer, et j'ai construit une approche thérapeutique psycho-corporelle en m'inspirant de l'enseignement de Caroline Myss sur le sens psychologique et énergétique des maladies, de Luis Ansa sur le chamanisme urbain et de Thich Nhat Hanh sur la pleine conscience. 

C'est au cours d'une cousinade que j'ai découvert mon don de magnétiseur et de chamane en soulageant mon cousin Alain (la quarantaine) d'une entorse du genou gauche par apposition des mains et canalisation d'un esprit guérisseur. Après un mauvais appui en jouant au foot, il ne pouvait plus poser le pied par terre. Quelque heures après mon geste intuitif (suggéré par mon frère qui me servait de cobaye), il était sur pied sans aucune gêne. 

J'ai alors rencontré l'enseignement d'Anne-Christine Hurtut sur la canalisation des esprits, sur le pouvoir secret des cristaux et sur le sens symboliques des Arcanes Majeurs du tarot de Marseille.

Pour pouvoir me sevrer définitivement de mon addiction morbide à la prostitution, je me suis fait aider par Corinne Lobjoie qui pratique une thérapie cognitive et comportementale, et par Geneviève Bartoli qui pratique la Gestalt et l'EMDR. Et j'ai cessé de "toucher" mes patient(e)s afin d'éviter les passages à l'actes sexuels.

Alors, j'ai pratiqué une psychanalyse holistique d'inspiration jungienne, fort de ma propre cure analytique et de mes années de pratique du Zen Shiatsu. Il s'agissait de les aider à se connaître en profondeur pour pouvoir être plus libres, en prenant conscience de toutes la richesse qui dormaient en eux. Il s'agissait aussi de les aider à guérir leurs blessures de l'enfance, à assumer leurs qualités et leurs faiblesses, et à affirmer leurs besoins, leurs envies et leurs limites, avec "courage et détermination", en sachant que chacun(e) est responsable de son bonheur. 

Il n'y a pas de bonheur possible sans transformation. Il n'y a pas de bonheur non plus sans liberté. Or la liberté réside dans la possibilité pour chacun(e) d'agir, de penser et de s'exprimer selon ses propres choix. C'est bien à cette seule condition que l'on peut être profondément heureux. Le bonheur sans liberté est une coquille vide, un état fragile et superficiel qui disparaît au moindre coup de vent. 

On comprend aisément que la liberté nécessite une profonde réflexion pour se connaître et répondre à ses propres désirs, et non à ceux des autres. C'est une démarche qui demande de la conscience, du temps et un travail conséquent sur soi, mais la force que l'on en retire est tellement gratifiante ! 

Etre libre, c'est se libérer des entraves et oser exprimer ce que nous sommes au plus profond de notre être et de notre âme. Pour mener au bonheur, cette liberté se doit d'être constructive et respectueuse de la vie et du vivant. Finalement, nous pouvons tenter cette définition du bonheur : être en accord avec soi et avec la vie quelles que soient les circonstances. 

Depuis 2018, je pratique la psychanalyse jungienne et le coaching en développement personnel, chez moi, à Saint-Denis.

De nombreuses personnes m'ont fait confiance depuis bien des années. Je les ai accompagnées pour un temps plus ou moins long. Par leur authenticité et leur courage, elles ont contribué à m'enseigner davantage sur le sens de la vie. 

Je suis le résultat de mes expériences personnelles et professionnelles. Mon approche est à la fois corporelle, émotionnelle, psychologique et spirituelle, mais je n'appartiens à aucune école de psychothérapie ou de psychanalyse, ni à aucune religion ou mouvement religieux. 

Je crois profondément en l'être humain et en la nature sacrée de tous les êtres vivants. Ma démarche et mon travail sont holistiques, et prennent en considération tout ce qui fait le richesse de l'être humain. 

S'ouvrir à son âme pour naître à soi

Naître à soi

La vie est un long chemin, souvent difficile, mais de plus en plus d'êtres humains sur la planète veulent vivre mieux, profiter de chaque instant et donner un sens à leur existence. C'est une requête légitime, qui répond souvent à un désir intime impérieux : être enfin plus heureux et laisser derrière soi les manques et les souffrances. 

Nombre d'hommes et de femmes sont aujourd'hui en recherche d'une nouvelle manière d'être et de vivre. Au cœur de chacun, il existe une force qui espère émerger, telle une fleur prête à éclore. L'être humain est imparfait, mais cela ne signifie pas qu'il ne puisse pas s'épanouir davantage et se libérer de ses pensées, croyances et comportements négatifs, impropres à son bonheur. 

L'homme est perfectible. Il peut cheminer en lui pour exprimer son essence, pour être enfin plus entier et plus libre. Chaque homme et chaque femme a la possibilité de contacter son essence, c'est-à-dire son âme. 

 

Qu'est-ce que contacter son essence ? 

Nous ressentons tous qu'en devenant adultes nous perdons notre innocence, et avec elle tous nos rêves, une grande part de notre imaginaire et de notre créativité : notre capacité à créer notre vie. Le quotidien perd de sa magie et la réalité semble plus morne. Nous éprouvons le besoin de toucher cette part de nous-mêmes oubliée. 

Nous ignorons trop souvent qu'un enfant vit en nous : notre enfant intérieur. Aller à sa rencontre est indispensable pour naître à soi, mais cette recherche de l'enfant en soi est incomplète si elle ne s'accompagne pas d'une vision nouvelle de l'adulte en soi. Il est essentiel d'accorder une place équivalente à cet adulte qui est à (re)construire. L'adulte et l'enfant en soi se doivent d'avancer ensemble, main dans la main, pour que s'épanouisse notre âme. 

Notre âme détient les clefs de notre épanouissement. Elle nous offre une ouverture unique sur nous-mêmes, sur les autres et sur la vie. Elle est un appel à la réalisation de soi, même si celle-ci est une quête éternelle. Carl Gustav Jung confiait : "Je ne peux pas vous dire à quoi ressemble un homme qui jouit d'une complète réalisation de soi, je n'en ai jamais vu. Avant de tendre à la perfection, nous avons à vivre l'homme ordinaire sans mutilation de soi." La plupart d'entre nous souffrent de leur incapacité à laisser s'exprimer leur essence, leur âme. Nous avons le plus grand avantage à nous ouvrir à cette dimension sacrée. 

Notre premier bénéfice est l'ouverture à une puissance sur nous-mêmes qui nous conduit à être notre propre guide, le créateur de notre vie. Cette puissance naît d'une alchimie entre la créativité de l'enfant intérieur et la capacité d'action et de conscience de l'adulte. Lorsque nous exprimons notre âme, nous savons mieux profiter de la vie. Nous vivons uniquement le présent, et tout devient source d'émerveillement. Nous dirigeons alors notre vie avec plus de conscience, plus de liberté et plus de joie de vivre. Nous sommes notre propre guide et maître, puisque nous sommes profondément la meilleure personne pour nous-mêmes. Notre âme nous permet de trouver les réponses pour être plus libres, et donc plus heureux. 

Aucun jugement sur la vie ou sur les expériences de chacun n'est à porter : il n'y a ni bons ni mauvais choix ; cependant, certains sont plus épanouissants que d'autres et nous évitent des souffrances inutiles. Nombre d'entre nous croient qu'il faut souffrir pour grandir ; c'est une croyance masochiste ! Pourquoi ne pas opter le plus souvent possible pour ce qui va nous rendre heureux et développer tout ce qui conduit à une vie plus riche, plus douce et plus épanouissante ? Certains choix sont en fait sources de souffrances et peuvent être évités. C'est une démarche qui demande de la conscience, du temps et un travail conséquent sur soi, mais la force que l'on en retire est tellement gratifiante ! 

Le second bénéfice est l'ouverture à notre bonheur. Le bonheur a autant de visages qu'il y a d'êtres humains sur terre. Il n'existe pas une seule forme de bonheur. C'est à chacun de puiser dans son âme le pouvoir d'utiliser son Graal, cette coupe sacrée qui le mettra en lien avec la vie, avec son essence, avec son bonheur. 

 

Il n'y a pas de bonheur possible sans transformation

Pourquoi ne pouvons-nous pas rire, vibrer, jouer et vivre notre vie avec spontanéité ? Pourquoi ne sommes-nous pas capables d'affirmer chaque jour "J'aime qui je suis, j'aime avec qui je suis, j'aime ce que je fais et j'aime où je vis...", et faire totalement nôtre cette maxime ? La réponse est simple. Parce que de nombreux aspects dans nos vies ne sont pas épanouissants. Nos histoires familiales, nos relations amoureuses, notre milieu social, entre autres (la liste est longue), sont souvent des entraves à notre bonheur. Que faire alors ? Eh bien, changer, transformer tout ce qui nous empêche de nous aimer et d'aimer notre vie. Pour en revenir à la maxime précédente, si nous remarquons que l'une de ces affirmations n'est pas vraie ou ne l'est plus (car rien n'est jamais figé, ni acquis, dans la vie), alors attelons-nous à trouver des solutions pour modifier cet état de fait. Chaque individu a la force de surmonter les difficultés et les contrariétés de la vie. Nous sommes notre principal allié pour nous-mêmes. 

Pour cela nous avons à prendre conscience qu'autre chose existe et qu'on y a droit. Une des clefs de la transformation réside dans cette constatation : tant que nous n'imaginons pas que quelque chose existe, nous ne pouvons pas l'obtenir. C'est seulement à partir du moment où nous commençons à croire en un événement qu'il devient possible. 

Pour chaque personne et chaque difficulté qu'elle rencontre, il y a une solution adaptée, mais nous devons transformer certains éléments de notre vie. Il n'y a aucune solution sans changement. C'est la peur de changer ce que nous connaissons ou la croyance qu'il ne peut en être autrement qui empêchent la résolution de nos problèmes. De plus, il n'existe réellement aucun changement rapide. Toute transformation naît d'une maturation. 

Le bonheur est toujours lié à notre capacité à accepter et à vivre positivement le changement. Pour être heureux, il faut aussi admettre que la vie est difficile. Elle peut nous sembler injuste car nous vivons tous, sans exception, des épreuves qui nous rendent malheureux : des ruptures, des souffrances, la mort d'êtres chers... Perdons l'illusion que nous pouvons éliminer définitivement toute tristesse de notre vie. 


Il n'y a pas de bonheur sans liberté

Nos vies se caractérisent, à des degrés divers, par la soumission à des modèles, à des pensées qui influencent nos choix. Beaucoup d'entre nous se sentent prisonniers de leur famille, de convenances sociales, de dogmes religieux ou de la société, or la liberté réside dans la possibilité pour chacun d'agir, de penser et de s'exprimer selon ses propres choix. C'est bien à cette seule condition que l'on peut être profondément heureux. Le bonheur sans liberté est une coquille vide, un état fragile et superficiel qui disparaît au moindre coup de vent. 

On comprend aisément que la liberté nécessite une profonde réflexion pour se connaître et répondre à ses propres désirs, et non à ceux des autres. Etre libre, c'est se libérer des entraves et oser exprimer ce que nous sommes. Pour mener au bonheur, cette liberté se doit d'être constructive et respectueuse de la vie. Finalement, nous pouvons tenter cette définition du bonheur : être en accord avec soi et avec la vie quelles que soient les circonstances. 

 

Deux vérités sur lesquelles s'appuyer

Notre société est fondée sur la notion de droits et de devoirs, qui constitue notre identité sociale d'adulte et de citoyen. Force est de constater que ces éléments sont essentiels et positifs pour notre société. Cependant, cette notion de droits et de devoirs pour la société n'a pas d'équivalent pour notre identité plus intime. C'est une lacune à combler. Il est primordial que chacun puisse s'appuyer sur des certitudes pour pouvoir avancer. Deux convictions peuvent s'imposer comme des vérités essentielles. 

A sa naissance, chaque être humain reçoit un cadeau sacré et inestimable, le droit à l'amour. Toute notre vie se résume à cette seule quête : s'aimer, aimer et être aimé. Il est difficile de parler d'amour, principalement pour deux raisons : tout d'abord parce que nous véhiculons tous, plus ou moins, des idées erronées sur ce qu'est l'amour ; ensuite parce que nous justifions bon nombre de nos actes peu justes au nom de l'amour. Rappelons simplement que la principale caractéristique, trop souvent oubliée, de l'amour est la bienveillance à l'égard de soi et de tous les êtres vivants. 

Un seul devoir dans la vie l'emporte sur tous les autres. Il est vis-à-vis de nous-mêmes, le devoir de nous rendre plus libres. Cette liberté nous rendra plus heureux et nous permettra d'apporter une contribution positive au monde. Certains pourraient penser qu'il s'agit là d'une démarche égocentrique, voire égoïste, mais il n'en est rien. La liberté nécessite une connaissance de soi qui entraîne automatiquement une connaissance des autres et de la vie. Notre liberté et notre bonheur sont véritablement contagieux pour notre entourage. Au-delà de notre propre personne, ce devoir de liberté est une forme active de transformation de notre monde : nous pouvons contribuer, à notre niveau, à l'élaboration d'un onde meilleur. 

 

Comment naître à soi ? 

Je vous propose un cheminement pour retrouver votre enfant intérieur, votre essence et votre âme, qui sait, elle, que tout est possible. La première partie de cet accompagnement traite de la connaissance de soi éclairant les subtilités de notre être et de la vie. La deuxième partie aborde nos rapports avec la famille et la relation essentielle avec notre enfant intérieur. A cette étape, je vous enseignerai et vous transmettrais les outils nécessaires pour vous connecter à votre âme et pour pouvoir intégrer ses messages. La troisième partie explore le vaste domaine de l'amour. Voilà l'un des mots et des sentiments les plus galvaudés qui soient. Notre société souffre profondément de la méconnaissance de ce qu'est réellement l'amour authentique. 

Chacune de ces parties est une étape vers une nouvelle naissance, vers l'éclosion de l'âme, cette essence consciente, puissante et créatrice qui existe en chacun de nous. 

Les fondamentaux

Se connaître

La majorité des gens ne se connaissent pas et font des choix qui ne leur correspondent pas. Plus nous sommes éloignés de notre essence (c'est-à-dire de ce que nous sommes profondément), plus nous déclinons et perdons goût à la vie. Il est préférable pour avancer dans la vie, de connaître son jeu de cartes, c'est-à-dire ses qualités, ses faiblesses, ses besoins, ses envies, ce qui est juste et épanouissants pour soi. 

S'accepter

Beaucoup de gens comprennent intellectuellement la nécessité de se connaître, mais ils ont du mal à s'accepter. La honte toxique est le principal ennemi d'une bonne estime de soi. Elle fait naître des croyances ou des pensées écrasantes du genre : "Je suis un raté" ; "Je ne vaux rien" ; "Je suis méchant" ; "Je suis incompétent"... S'accepter revient à voir la réalité de façon globale, et à ne plus osciller entre orgueil et dévalorisation. 

Etre honnête avec soi

Etre honnête avec soi est souvent difficile, car nous craignons de nous confronter à notre ombre et de souffrir. Cette peur de la souffrance est cependant bien pire que la souffrance elle-même ; elle nous paralyse et nous empêche de découvrir nos trésors intérieurs. L'automanipulation est l'outil le plus courant pour se mentir à soi-même. C'est une forme de résistance aux changements. 

Agir en conscience

L'action est une confrontation avec la vie : elle est indispensable pour changer et évoluer. Ne pas agir revient à ne pas être en vie, à fuir sa responsabilité de créateur de sa vie, à ne pas s'affirmer et à ne pas être à l'écoute de soi et des autres. Chaque action devrait être le fruit d'un choix le plus conscient possible pour oeuvrer pour son bien et celui de tous les êtres. Lorsque nous éprouvons des difficultés à poser un acte, cela peut être le signe que cette action est indispensable à notre bien-être. Nos peurs entrent alors en jeu pour nous faire croire le contraire, nous démoraliser et nous démobiliser. 

Cesser de se juger

Nous nous conduisons souvent en bourreau avec nous-mêmes. Nous nous jugeons sans cesse. Imaginez que vous vous infligez un coup de massue à chaque pas que vous faites dans une rue : pensez-vous que vous réussirez à avancer ? Certainement pas. C'est ainsi que nous nous comportons lorsque nous laissons la parole à notre juge intérieur. A chaque fois que vous vous surprenez à vous critiquer de façon abusive et sans fondement, dites à haute voix : "Annulé !" Vous stipulerez ainsi à votre juge intérieur qu'il n'a plus la parole. Répétez cela autant de fois que nécessaire. 

Accepter l'idée de l'échec

Nous répétons tous dans nos vies des situations analogues à celles vécues dans l'enfance. C'est comme si nous nous confrontions régulièrement à ces difficultés pour mieux les comprendre et les surmonter. La perfection n'existe pas. L'échec est naturel et souvent bénéfique : il nous permet de nous remettre en cause. Pensez à une action où vous avez échoué. Vous êtes-vous donné réellement les moyens de réussir ? Cette action était-elle bénéfique ? N'oubliez jamais que certains échecs sont souvent perçus, après coup, comme de formidables opportunités pour orienter notre vie vers une meilleure voie. 

Les plans de conscience

Premier plan

  • La famille et ses valeurs
  • Les croyances familiales
  • Les relations familiales
  • Le sentiment de sécurité
  • L'aptitude à se défendre
  • L'ordre et la cohésion

Second plan

  • Les sentiments de blâme
  • Les sentiments de culpabilité
  • L'argent et le sexe
  • Le pouvoir et le contrôle
  • La créativité
  • L'éthique et l'honneur

Troisième plan

  • La confiance
  • La peur et l'intimidation
  • Le respect de soi
  • La capacité au bien-être
  • La capacité à être responsable
  • L'honneur personnel

Quatrième plan

  • L'amour et la haine
  • Le ressentiment et l'amertume
  • Le chagrin et la colère
  • L'égocentrisme
  • La solitude et l'engagement
  • Le pardon et la compassion

Cinquième plan

  • Le choix et la force de volonté
  • L'expression personnelle
  • La capacité de se réaliser
  • La canalisation de son pouvoir 
  • L'assuétude et le jugement
  • La foi et la connaissance

Sixième plan

  • L'auto-évaluation
  • La vérité
  • Se sentir à la hauteur
  • Etre ouvert aux idées des autres
  • Savoir tirer des leçons
  • L'intelligence affective

Informations pratiques

Cadre thérapeutique

  • Chez moi et, ou, par téléphone 
  • Séance individuelle d'une heure
  • Le tarif est de 50 euros
  • Groupe de parole du mercredi soir : 20 euros
  • Les séances annulées moins de 48 heures avant sont dues si elles ne peuvent pas être déplacées dans la semaine en cours
  • Cette accompagnement n'est pas prise en charge par la Sécurité Sociale ni par les mutuelles. 

Horaires

Du lundi au vendredi
10h-20h

Coordonnées

Christian Vernoux

14 rue Paul Eluard
93200 Saint-Denis
France

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